Concours "Dis-moi dix mots" pour modifier.
A l'occasion de ce concours, les élèves ont voulu créer un projet commun et ont inventé une bande-dessinée dans laquelle ils devaient utiliser dix mots proposés. Exercice pas toujours facile mais ici accompli de façon juste et originale. Les élèves sont certains qu'elle vous plaira !
Cambriolage à Liptonville
Cambriolage à Liptonville
Cliquez Chapitre 6 : La poésie permet-elle
de voir le monde autrement ?
Cliquez ici pour modifier.
Si la poésie permet à chacun d'exprimer ses sentiments sur le monde, elle donne l'occasion de travailler sur le langage et le visuel. Les élèves ont ainsi pu exprimer leur rêve et faire des calligrammes à la manière de Guillaume Apollinaire.
La lecture d'un groupement de textes poétiques en classe entière a donné l'occa&sion à des élèves d'établir une carte d'identité originale des poètes.
Chapitre 5 : A quoi sert une métamorphose ?
Les 16 Métamorphoses d'Ovide
Pour faire comprendre le processus d'une métamorphose, les élèves se sont amusés à écrire leur propre métamorphose sous forme de devinette. A vous de jouer !
Chapitre 4 : Ulysse, reviens !
L’Odyssée d'Homère
Durant ce chapitre, les élèves ont eu la possibilité d'aller en salle informatique et de faire des exercices liés aux TICE. Ils ont écouté un extrait du chant XIX, dont voici la jaquette du CD et faire les activités proposées. A votre tour, si vous souhaitez faire celles-ci cliquez sur la jaquette pour écouter l'extrait du chant XIX et cliquez sur les liens pour les activités.
Chapitre 3 : Les animaux peuvent-ils faire
réfléchir les hommes ?
Les Fables de Jean de La Fontaine
A partir d'une biographie, tels des journalistes littéraires (J), des élèves se sont amusés à faire une interview imaginaire à Jean de La Fontaine (LF) , le célèbre fabuliste français.
J - Bonjour Monsieur de La Fontaine, pouvons-nous vous poser quelques questions ?
LF - Oui, bien sûr. J - Eh bien tout d'abord, quand êtes-vous né ? LF - Je suis né en 1620, en juillet mais je ne connais pas le jour exact, le 8 ou le 9. J - Pourquoi êtes-vous resté à Château-Thierry ? LF - J'y suis resté pour terminer ma troisième année scolaire. J - En quelle année vous êtes-vous marié ? Et avec qui ? LF - En 1647, avec Marie Héricart. J - Pourquoi avez-vous divorcé de votre femme ? LF - Elle ne voulait pas avoir un deuxième enfant mais moi, si. J - De quoi héritez-vous à la mort de votre père ? LF - J'ai hérité de ses deux charges (maître ancien et capitaine des chasses). J - Quand avez-vous écrit votre première pièce et quel était son nom ? LF - J'ai crée L'Eunuque en 1654. J - Qu'est-ce qui vous inspire à écrire ? LF - Bonne question, je ne sais pas. J - Grâce à qui entrez-vous dans le cercle de Nicolas Fouquet ? LF - Grâce à mon oncle Jannart et à Pellisson que je remercie. J - Où et quand avez-vous rencontré Racine ? LF - A Paris, en 1660. Depuis, nous sommes restés de bons amis. J - Est-ce vraiment vos cheveux ? LF - Non, bien sûr, c'est une perruque. Touchez un peu... J - Ah oui. Quand avez-vous publié votre première série de contes en vers ? LF - En 1665. J - Quand avez-vous commencer à écrire Les Fables ? LF - En 1668. J - En quelle année avez-vous écrit vos dernières fables ? LF - En 1694. J - Auriez-vous voulu faire autre chose qu'écrire. LF - Oui, j'aurais voulu chanter. J - Nous vous remercions Monsieur de La Fontaine. LF - Je vous en prie. C'était un plaisir. Au revoir ! J - Au revoir ! ** Les passages en vert sont inventés par les élèves. hhh |
Dans ce nouveau chapitre les élèves ont été invités à se rendre sur le site www.lafontaine.net, à choisir une illustration d'une fable de Jean de La Fontaine et à la présenter. Voici quelques illustrations suivies de la présentation faite par des élèves.
L'étude des fables, dont le but est de donner de façon plaisante une leçon de vie, donnent l'occasion aux élèves de lier divertissement et réflexion. Voici une série d'exercices ludiques sur Les Fables de Jean de la Fontaine :
La Colombe et la Fourmi ;
Parole de Socrate ;
Le Lion abattu par l'homme ;
La morale dans les fables.
Les élèves ont aussi eu l'opportunité d'écrire leur propre fable philosophique. Bonne lecture !
La Colombe et la Fourmi ;
Parole de Socrate ;
Le Lion abattu par l'homme ;
La morale dans les fables.
Les élèves ont aussi eu l'opportunité d'écrire leur propre fable philosophique. Bonne lecture !
Chapitre 2 : Racontez-moi des contes d'autrefois !
Les Contes de Perrault
Suite à l'intervention d'une conteuse en classe, les élèves ont eu l'occasion d'écrire par groupe de deux un conte pour ensuite le conter aux élèves de CE2. En voici un exemple.
Pourquoi le crapaud est vert foncé et a des cloques ?
Il y a très longtemps, il y avait un crapaud tellement vert que tout le monde pensait que c’était une feuille.
Un jour en allant vers une rivière, il vit sans reflet et comprit pourquoi les autres animaux pensaient cela et se moquaient de lui. Alors, il alla voir la plus belle sorcière lézarde au monde et lui dit :
« Excuse-moi, tu peux me rendre beau ? demanda le crapaud.
Oui, mais pour cela, il faut aller boire de l’eau bouillante du lac sacré. Cependant, il faut faire attention à ne pas tomber dans le lac sinon tu vas rester très laid et te brûler » répondit la gentille sorcière.
Le crapaud, tout précipité pour boire l’eau sacrée, ignora tout sur son passage et se mit à pousser tout le monde. Soudain, il poussa la tortue la plus dangereuse et la plus rancunière au monde, si bien qu’elle le poursuivit. Quand il arriva au bord du lac, la tortue s’approcha discrètement près de lui et le fit tomber violemment dans le lac pour prendre sa revanche.
« Ouaaa, j’ai mal, ça brûle, aidez-moi ! » cria le crapaud.
Quand il réussit à sortir, il était devenu vert foncé et de petites cloques avaient recouvert toute sa peau.
Serge
Il y a très longtemps, il y avait un crapaud tellement vert que tout le monde pensait que c’était une feuille.
Un jour en allant vers une rivière, il vit sans reflet et comprit pourquoi les autres animaux pensaient cela et se moquaient de lui. Alors, il alla voir la plus belle sorcière lézarde au monde et lui dit :
« Excuse-moi, tu peux me rendre beau ? demanda le crapaud.
Oui, mais pour cela, il faut aller boire de l’eau bouillante du lac sacré. Cependant, il faut faire attention à ne pas tomber dans le lac sinon tu vas rester très laid et te brûler » répondit la gentille sorcière.
Le crapaud, tout précipité pour boire l’eau sacrée, ignora tout sur son passage et se mit à pousser tout le monde. Soudain, il poussa la tortue la plus dangereuse et la plus rancunière au monde, si bien qu’elle le poursuivit. Quand il arriva au bord du lac, la tortue s’approcha discrètement près de lui et le fit tomber violemment dans le lac pour prendre sa revanche.
« Ouaaa, j’ai mal, ça brûle, aidez-moi ! » cria le crapaud.
Quand il réussit à sortir, il était devenu vert foncé et de petites cloques avaient recouvert toute sa peau.
Serge
Chapitre 1 : Quelle image Molière a-t-il des médecins ?
Le Médecin malgré lui de Molière
Alors que les élèves n'avaient pas encore lu la pièce de théâtre, il leur a été demandé d'imaginer sous forme de dialogue théâtral la situation représentée sur l'image.
Voici quelques textes écrits par les élèves. Le matin Pierre – Ah, quelle belle vie de bûcheron ! Deux hommes arrivent. Jacques – Viens avec nous à l’armée pour être médecin. On n’en a pas assez. Pierre – Non, je refuse ! Jacques, sur un ton fâché – Viens à l’armée, tu n’as pas le choix ! Pierre – Non, je veux rester dans les bois. Paul, tenant un bâton à la main et prêt à frapper – Si tu ne viens pas, on t’assomme. Pierre – Très bien, je viens. Killian et Alexis Louis – Bonjour mon bon Grégoire. Baptiste et moi sommes venus te demander de devenir médecin. Grégoire – Mais pourquoi moi ? Et puis qui va couper le bois ? Louis, embêté – Je ne sais pas mais on va bien trouver quelqu’un. Baptiste – Nous avons tant besoin d’un médecin. Grégoire – Mais je n’ai pas envie de faire ce métier. Louis, fâché – Vous êtes obligé, le roi vous l’a ordonné. Grégoire, déçu – Bon d’accord si vous insistez. Clément et Baptiste Jacques – la la la la crr crr la la crr. Simon – Eh ! toi, paysan, donne-moi du bois et viens soigner ma fille chez moi ! Jacques – Mais je coupe du bois pour ma famille et je ne suis pas médecin. Simon – Mais, je sais que tu as fait quelques études ; c’est pour cela que je t’ordonne de venir soigner ma fille, sinon gars à toi ! Simon lève son bâton et menace Jacques puis un noble leur rend visite. Le noble – Mais que se passe-t-il ? Jacques, ôtant son chapeau et saluant le noble – Bonne après-midi monsieur. Il n’y a pas de problème. Le noble, curieux – Pourquoi menacez-vous cet homme ? Simon – Parce qu’il ne veut pas soigner ma fille. Jacques – Mais je n’ai pas beaucoup d’expériences ! Simon – Mais s’il vous plaît, ma fille est vraiment malade. Jacques – D’accord, j’arrive ! Le noble, en souriant – Bonne fin de journée. Taïfa et Clara |